"Take this Waltz" XVII - Grave/ Mélancolie
Danube bleu
Si, comme un dieu,
On t'a chanté,
Cœur exalté,
C'est que tes flots,
Rires ou sanglots,
Portent la vie et l'amour
Tout le long de ton parcours!
(…)
Le beau Danube Bleu
À la gare de Santa Apolónia Elle regard le train qui part, puis le mouvement des gens. Elle fait un effort pour éloigner la nostalgie. Elle s’assoit, le carnet noir aux feuilles rouges sur les genoux, Elle écrit :
Je ne veux pas être obsédée par toi, je ne veux pas regretter la tendresse éblouissante de tes caresses, je veux t’oublier ...
Non cela n’est pas vrais, je t’aime comme il y a longtemps je n’aimait pas personne, en tant que totalité de corps et d’esprit, et pas seulement quelques traits physiques et psychiques
je veux sentir ton odeur comme un fantôme chéri, pleurer follement ton absence, désirer ton corps dans mon lit … mais non … pas de masochisme, je me serais obligée de donner raison à Hélène Deutsch ...
Elle fini son écriture, mais ne se décide pas s’en aller. Elle attend quelque chose de miraculeux. Elle songe d'un voyage au Sud d'Espagne ou au Méxique.
Un passant lui demande si le prochain train pour Porto partira à dix heures.
-Oui … dit- Elle d’un air entêté.
Elle flâne dans le centre- ville, monte et descend les rues pour guetter le fleuve gris -vert qui cache encore le secret de leur regard. Le plus souvent le temps est gris. Le soleil est rare, il pleut. Une pluie intermittente. Subitement au fond d’une rue les rayons solaires rencontrent les gouttelettes d'eau dans le brouillard, un arc-en-ciel se produit cependant très pâle, car les minuscules gouttelettes d'eau du brouillard dispersent mal la lumière. Ce genre d’observations l’aide à écarter la mélancolie. Un pigeon s’envol tandis qu’ Elle écoute le beau Danube bleu dans son lecteur d’MP3
Elle a froid , se sent extenuée et cherche la chaleur d'un café avant de retourner au travail.
à suivre ...
Si, comme un dieu,
On t'a chanté,
Cœur exalté,
C'est que tes flots,
Rires ou sanglots,
Portent la vie et l'amour
Tout le long de ton parcours!
(…)
Le beau Danube Bleu
À la gare de Santa Apolónia Elle regard le train qui part, puis le mouvement des gens. Elle fait un effort pour éloigner la nostalgie. Elle s’assoit, le carnet noir aux feuilles rouges sur les genoux, Elle écrit :
Je ne veux pas être obsédée par toi, je ne veux pas regretter la tendresse éblouissante de tes caresses, je veux t’oublier ...
Non cela n’est pas vrais, je t’aime comme il y a longtemps je n’aimait pas personne, en tant que totalité de corps et d’esprit, et pas seulement quelques traits physiques et psychiques
je veux sentir ton odeur comme un fantôme chéri, pleurer follement ton absence, désirer ton corps dans mon lit … mais non … pas de masochisme, je me serais obligée de donner raison à Hélène Deutsch ...
Elle fini son écriture, mais ne se décide pas s’en aller. Elle attend quelque chose de miraculeux. Elle songe d'un voyage au Sud d'Espagne ou au Méxique.
Un passant lui demande si le prochain train pour Porto partira à dix heures.
-Oui … dit- Elle d’un air entêté.
Elle flâne dans le centre- ville, monte et descend les rues pour guetter le fleuve gris -vert qui cache encore le secret de leur regard. Le plus souvent le temps est gris. Le soleil est rare, il pleut. Une pluie intermittente. Subitement au fond d’une rue les rayons solaires rencontrent les gouttelettes d'eau dans le brouillard, un arc-en-ciel se produit cependant très pâle, car les minuscules gouttelettes d'eau du brouillard dispersent mal la lumière. Ce genre d’observations l’aide à écarter la mélancolie. Un pigeon s’envol tandis qu’ Elle écoute le beau Danube bleu dans son lecteur d’MP3
Elle a froid , se sent extenuée et cherche la chaleur d'un café avant de retourner au travail.
à suivre ...
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