Da Luz VI - La douce lueur du crépuscule
"La dernière lumière du soleil, avant de disparaître, avait fasciné le monde, le tenait en suspens, pour quelques minutes encore."
"Le soir est tombé petit à petit, sans ombre, en éteignant seulement les couleurs, les unes après les autres. C'était comme de la cendre. C'était très doux, avec des fummées qui montaient par endroits, et les nuages qui traînaient jusqu'à l'horizon, couleur d'or et de feu. Puis, quand la nuit s'est installée, les lumières ont commencé á briller un peu partout, sur le toit des maisons [...]"
J.M.G. Le Clézio, "Villa Aurore", "La Grand Vie", in La Ronde et Autres Faits Divers, (Paris, Gallimard,1982), pp.122 e 172
"Le soir est tombé petit à petit, sans ombre, en éteignant seulement les couleurs, les unes après les autres. C'était comme de la cendre. C'était très doux, avec des fummées qui montaient par endroits, et les nuages qui traînaient jusqu'à l'horizon, couleur d'or et de feu. Puis, quand la nuit s'est installée, les lumières ont commencé á briller un peu partout, sur le toit des maisons [...]"
J.M.G. Le Clézio, "Villa Aurore", "La Grand Vie", in La Ronde et Autres Faits Divers, (Paris, Gallimard,1982), pp.122 e 172
Comentários